Une vie précaire
Les ouvriers s'entassent dans des véritables taudis où conjuguent insécurité et malpropreté. Ils vivent dans des quartiers où règnent la misère, l'insalubrité, la maladie, la délinquance, la prostitution... Ils mènent une vie difficile car la moindre maladie les contraint au chômage. Ils n'ont pas de sécurité sociale et se défoulent dans l'alcool et la débauche.
Une amélioration lente
Au 19es les progrès de l'instruction font baisser l'analphabétisme. Les droits d'association de grève et le suffrage universel permettent aux ouvriers de faire pression sur les bourgeois afin d'améliorer leur condition de vie et de travail. Toutefois les ouvriers éprouvent un sentiment de frustration car ils profitent moins que la bourgeoisie de l'enrichissement général. La prise de conscience de cette situation les amène à s'organiser d'où la naissance des syndicats.