II-1. L’abstinence
Elle est conseillée aux personnes célibataires. Par cette méthode la jeune fille ne risque pas de se retrouver enceinte.
L’abstinence consiste à ne pas entretenir de rapports sexuels. Même si garder sa virginité jusqu’au mariage est pour certaines jeunes demoiselles une insulte et pratiquement une malédiction, il ne demeure pas moins que cette méthode est la meilleure et c’est d’ailleurs ce qui est recommandée par le Seigneur Jésus-Christ dans les Saintes écritures. De plus, l’abstinence donne à la jeune fille de garder sa fierté et de gagner le respect des vrais hommes.
II-2. Les méthodes contraceptives
II-2-1. Utilisation des pilules
Les pilules agissent de plusieurs manières :
- Certaines bloquent la ponte ovulaire : L’ovule n’ayant pas été libéré, il clair lors d’un rapport sexuel, les spermatozoïdes contenus dans l’éjaculat n’auront rien à féconder, et de ce fait, ils dégénèreront.
- D’autres par contre vont agir au niveau de la muqueuse utérine destinée à accueillir l’embryon. Elles rendront la muqueuse utérine incapable d’accueillir l’embryon.
II-2-2. La méthode barrière
Elles consistent au port du préservatif. Le préservatif empêche le sperme contenant les spermatozoïdes d’atteindre les voies génitales femelles. Il empêche également la transmission des germes de l’homme vers la femme et vis-versa.
II-2-3. La méthode du coït interrompu
Cette méthode consiste à interrompre l’acte sexuel au moment de l’éjaculation. En effet, au moment l’éjaculation, l’homme se retire de la femme. Toutefois, cette méthode est risquée dans la mesure où l’acte sexuel serait répété.
II-3. Les méthodes contragestives.
II-3-1. La pilule du lendemain
Après un acte sexuel, lorsque la femme soupçonne une éventuelle fécondation, elle peut prendre une pilule dite du lendemain. Cette dernière, s’il y’a fécondation et donc formation d’un zygote, empêchera ce dernier à migrer vers la paroi interne de l’utérus. Ne pouvant plus accéder au site propice à son développement, l’œuf dégénèrera. Cette pilule doit être prise au plutard 72 heures après l’acte sexuel.
II-3-2. L’antiprogestérone ou RU 486
C’est hormone qui permet d’interrompre une grossesse en cours. Cette hormone est en compétition avec la progestérone. A cet effet, elle se fixe sur les récepteurs de la progestérone situés au niveau des cellules de la paroi interne de l’utérus. Cette fixation conduit à une baisse notable de la concentration en progestérone ; la muqueuse utérine se nécrose et l’embryon dégénère et est éliminé : c’est l’avortement.