CONCLUSION
Parvenue au terme de notre analyse ou il était question pour nous d’étudier quelques organes ou tissus sur le plan microscopique, il en ressort que dans le cas du muscle, les données observées intéressent les rééducateurs car le maintient de la souplesse de ces structures profondes dans un muscle paralysé, conditionne la récupération en cas de ré-innervation souvent tardive. Dans ce cas, les moyens d’action sont indirects : massages musculaires, mobilisation passive du muscle paralysé par étirement passif en les mettant en situation d’antagoniste ayant ainsi pour but d’éviter la dégénérescence des structures profondes du muscle dans le but d’une récupération neurologique.