Dans le milieu terrestre, l’individu mâle s’ accouple avec l’individu femelle et il déverse dans les voies génitales femelles des sécrétions qui contiennent les spermatozoïdes qui migreront à la rencontre de l’ovule. Un seul de tous ces spermatozoïdes fécondera l’ovule pour former un œuf dont l’issu diffèrera selon les espèces.
- Chez les oiseaux : la femelle pondra les œufs formés qui après quelques jours d’incubation à l’extérieur vont éclore et libérer les nouveaux individus. On dit que les oiseaux sont des ovipares. Ce phénomène est rencontré chez tous les ovipares, seule diffère la durée d’incubation.
- Chez les êtres humains et tous les mammifères, l’œuf se développera dans l’utérus de la mère jusqu’à former un individu entier qui verra le jour après 9 mois en ce qui concerne les êtres humains : ce sont les vivipares.
Comparées aux espèces aquatiques dont la fécondation est interne, les espèces vivant sur le milieu terrestre émettent peu de gamètes.
Contrairement aux espèces aquatiques chez lesquels la fécondation est externe, après leur naissance, les petits de la quasi-totalité des ovipares et des vivipares sont sous la protection de l’un ou de leurs deux parent(s) (les serpents ne protègent pas leurs petits). Les petits des vivipares ne sont pas livrés à eux-mêmes en ce qui concerne leur alimentation, en effet, ils sont nourris à l’aide du lait des mamelles de leurs mamans jusqu’à ce qu’ils soient à mesure de se prendre eux-mêmes en charge. Chez les ovipares, les petits aussi ne sont pas livrés à eux-mêmes en ce qui concerne leur alimentation, mais ils sont nourris non pas le lait de leurs mamans, mais par béquée.