En somme, nous réfléchissions sur le problème de la nature du bonheur. Nous avons d’abord vu que certains philosophes pensaient que le bonheur se limite à la satisfaction des plaisirs. Même si Platon soutenait qu’il n’est pas question de suivre tous les plaisirs, mais seulement les plus durables. Ensuite, nous avons dit que c’est par le désir que nous pouvons réellement essayer de percevoir le bonheur. Une dernière analyse nous a permis de voir qu’il était impossible de définir le bonheur car il s’agit d’un idéale qu’on ne peut pas voir de façon concrète, il appartient à chacun de desceller ses signes en nous.